Les monuments aux morts
Le monument aux morts de la guerre de 1914-1918, oeuvre de l’architecte jovacien Georges Vaudoyer faire lien a été édifié en 1922.
La plaque de pierre originelle portant 47 noms a été recouverte par une plaque de marbre lorsqu’aux noms des morts de 1914-1918 ont été rajoutés les 6 de ceux de 1939-1945.
Le « rempart » qui domine la place de l’église a été établi en 1765 quand le seigneur de Jouy acheva d’aménager l’entrée de son château. Par la suite des « baraques » s’adossèrent à la base du mur, et une fontaine publique y fut aménagée. C’est cet emplacement que le Conseil municipal choisit en 1922 pour installer le monument aux morts de la guerre 1914-1918. Dans ce monument de facture originale, rien hors l’entourage initial de six obus enchaînés n’évoquait visuellement la guerre.
Dans le cimetière communal on trouve un monument du souvenir de la guerre de 1870, érigé en 1879 ; les combats de cette guerre furent intenses autour de Jouy-en-Josas ; quatre noms de jovaciens y figurent.
Un carré de sépultures militaires accueille les soldats morts à l’hôpital militaire installé aux Metzpendant la guerre de 1914-1918 ; le nom de Michel Vaudoyer, mort pour la France le 6 septembre 1914, figure sur le monument aux morts 1914-1918 et sur l’obélisque du tombeau familial, mais son corps repose avec ceux de ses compagnons au cimetière militaire proche du champ de bataille.
Au carrefour du Petit Robinson un monument du au sculpteur Lacroix commémore les soldats morts lors de la Libération de Jouy en août 1944.
En haut de la rue Albert Vantieghem, dénommée en hommage à un résistant jovacien mort en déportation, une plaque commémore l’exécution par les allemands à cet endroit le 21 août 1944 du jeune Bernard Daire.